Légalité ?
Avant la crise, Hamedy Diarra au milieu devant le micro, derrière lui à droite Demba Diabira et Baidy Dramé.
Dans l’affaire du Haut Conseil des Maliens de France (HCMF) Monsieur Hamedy Diarra doit nous prouver depuis quand il a la légalité sachant qu’il se prévaut d’avoir gagné depuis les élections de 2014. Juridiquement le bureau de Hamedy Diarra n’existe pas de 2014 à 2016, aucune trace d’enregistrement à la préfecture de Bobigny.
La première déclaration de Hamedy Diarra date après l’ordonnance de référé, en produisant des faux documents à la justice pour avoir gain de cause. Nos avocats ont découvert la supercherie et nous avons déposé deux (2) plaintes à la justice.
La première plainte concerne le détournement des fonds du HCMF pour ses besoins personnels par exemple le relevé bancaire atteste que Hamedy Diarra a acheté des produits de beauté de femme dans un salon avec la carte bancaire du HCMF. Achats des produits dont le monde sait qu’ils sont destinés à faire des cadeaux aux femmes. Infraction passible de cinq (5) ans d’emprisonnement.
Une seconde plainte a été déposé pour escroquerie au jugement sachant qu’il n’avait pas de légalité qui lui est chère aujourd’hui à lui est ses partisans, il a saisi le juge de référé en produisant des faux procès-verbaux, des faux statuts datant de 2014 inconnus de la Préfecture de l’administration donc des statuts illégaux comportant des fausses signatures pour tromper la réligion du juge et la communauté malienne.
En effet après des recherches auprès de la Préfecture de Bobigny, le HCMF a découvert que tous les documents produits par Hamedy Diarra pour justifier sa présidence sont faux et leur caractère frauduleux est attesté par la Préfecture. Les statuts légaux du HCMF sont ceux de 2008 qui comportent le tampon de la Préfecture. Les procès-verbaux produits par Hamedy Diarra lors du débat judiciaire sont également faux et sont inconnus de la Préfecture.
Au vue de la fraude commise par Hamedy Diarra lors du procès, outre la plainte pour escroquerie au jugement passible de cinq (5) ans d’emprisonnement, le HCMF a saisi le juge de fond de Bobigny pour infirmer la décision provisoire rendue par le juge de référé.
Pour conclure le débat de légitimité, légalité est un faux débat car Hamedy Diarra n’a ni la légalité, ni la légitimité, au contraire la légalité dont se prévaut Hamedy Diarra et ses apprentis juristes a été obtenu dans l’illégalité en violation de la loi 1901.