Politique

C’est en de termes sans équivoques que l’opposition malienne a rejeté en bloc l’accord de paix paraphé à Alger le 1er mars dernier par le gouvernement.

Les services de renseignement du Mali ont arrêté deux hommes, complices présumés des auteurs de l'attentat jihadiste du 7 mars contre un bar-restaurant à Bamako qui a fait cinq morts, rapportent des sources gouvernementales maliennes, jeudi 19 mars.

Le gouvernement malien et la médiation internationale ont écarté toute discussion du contenu de l'accord de paix d'Alger, appelant de nouveau la rébellion à dominante touareg du nord du Mali à le parapher en l'état.

Depuis 25 ans, beaucoup de militants et leaders de l’Uneem font la courte échelle facilitant l’accession au pouvoir ou la gestion de l’Etat par des Princes. Qu’en est-il de leur propre destin ? Y-a-t-il un grand dessein parmi eux ? Les leaders et militants de l’Uneem devenus des Politiques confirmés...

Après près de trois heures de discussions à Kidal avec les médiateurs internationaux, les leaders des groupes rebelles ne se sont pas encore décidés à parapher le préaccord de paix d’Alger. Pour les contraindre, la communauté internationale envisage des sanctions.

Quatre jours d'intenses discussions avec leur base n’auront pas suffit aux leaders des groupes rebelles pour adopter une position claire sur le préaccord de paix d'Alger. Une équipe de médiateurs internationaux doit les rencontrer aujourd’hui dans leur fief

Au terme de sa quatrième visite au Mali du 1er au 10 mars – visite qui l’a conduit à Gao et à Kidal du 3 au 6 -, l’Expert indépendant sur la situation des droits de l’homme au Mali Suliman Baldo a exprimé de vives préoccupations face aux violations massives des droits les plus fondamentaux dont continuent à être...

Le parti de l’Abeille (emblème de l’Adema) est plus que jamais divisé sur les bords de la Seine. Le renouvellement de la section a mis le feu aux poudres.

Dans un communiqué publié vendredi 13 mars 2015, la Mission multidimensionnelle intégré des Nations Unies pour la stabilisation du Mali (Minusma) explique avoir fait l'objet d'une embuscade.

Les forces spéciales maliennes ont abattu l'un des auteurs présumés de l'attentat jihadiste de Bamako, qui a fait cinq morts le 7 mars dernier.

Sous pression internationale redoublée pour faire la paix, la rébellion à dominante touareg du nord du Mali a débuté mercredi dans son bastion de Kidal une réunion cruciale pour arrêter sa position sur l'accord de paix, déjà paraphé par le gouvernement.

Une semaine après l'attentat terroriste qui a endeuillé Bamako, aucun suspect appréhendé. L’enquête s’annonce, pour le moins, difficile sur une scène de crime polluée par les responsables politiques, les journalistes et autres curieux qui ont pu défiler sans la moindre restriction.

La Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA), qui rassemble les groupes armés en faveur de l’autonomie du nord du Mali, sera en conclave du mercredi au vendredi pour accepter ou rejeter le projet d’accord de paix.Une décision cruciale pour l'avenir.

Supervisé par le député Ahamada Sounkouna, 4 ème vice président de l'Assemblé du Mali et membre du bureau exécutif du parti de l’Abeille, le renouvellement de la section Adema de France a tourné au clash.

Deux civils et un casque bleu de l'ONU ont été tués dimanche par des tirs de roquettes à Kidal, dans le nord-est du Mali, au lendemain de l'attentat qui a fait cinq morts à Bamako.

Le groupe jihadiste Al-Mourabitoune de l’Algérien Mokhtar Belmokhtar a revendiqué l’attentat qui a fait cinq morts à Bamako, dans un enregistrement audio diffusé par l’agence privée mauritanienne Al-Akhbar.